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Ecrit le 29 septembre 2007 |
Les échéances approchent en matière d'évaluation interne et d'évaluation externe.
Nombre d'établissements et de services n'ont pas réalisé de démarche et s'interrogent sur la façon dont ils vont adopter les recommandations de l'ANESM, mobiliser positivement leurs équipes sans obérer leur fonctionnement au quotidien par un processus surdimensionné.
Depuis plusieurs années, Pluriel formation-recherche développe son activité de formation et de conseil dans le domaine de l'évaluation.
Nous sommes sollicités par des associations départementales de directeurs, des directions associatives, pour les éclairer sur les textes, les enjeux, la méthodologie.
Au cours d'une journée de travail nous examinons :
- Les éléments de conjoncture révélateurs des enjeux actuels,
- Les textes de référence,
- Les aspects stratégiques, conceptuels et méthodologiques.
Un document support est remis aux participants, accompagnant l'exposé.
Téléchargez : Evaluation interne et externe, Journée de travail Directeurs
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Ecrit le 25 septembre 2007 |
Finalité : au regard de leurs difficultés particulières, l'établissement accompagne des jeunes dans le développement de leur personnalité et l'acquisition des compétences nécessaires à leur intégration sociale.
Il s'agit en conséquence de répondre à un certain de nombre de besoins, dont découlent autant d'objectifs correspondants, que les professionnels poursuivent avec les jeunes accompagnés.
Ces objectifs constituent les critères de qualité de l'établissement. Ils impliquent diverses réponses constitutives de l'action menée, dont ils convient d'évaluer :
- qu'elles sont bien mises en �uvre (évaluation de l'effectivité),
- qu'elles se révèlent utiles aux besoins des jeunes, autrement dit, contributives aux objectifs poursuivis (évaluation de la pertinence).
Téléchargez : Démarche d'évaluation interne : le référentiel qualité de l'ITEP de Saint Thurin « Robert Anglaret » - ADPEP de la Loire
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Ecrit le 18 septembre 2007 |
GEIST 53 Laval, 27 avril 2007, Bertrand Dubreuil
Pour Robert Castel, les sociétés reposaient antérieurement sur la contrainte du groupe, le relatif assujettissement de l'individu à des places et comportements prédéterminés, tandis que les sociétés démocratiques exigent de cet individu qu'il soit mobile et souple, tout à la fois intégré et adaptable. En un mot autonome. Il doit développer « les supports de l'indépendance » pour être en capacité de contracter, il doit se diriger pour son propre compte et non en se concevant comme partie d'un ensemble qui le détermine.
La nouvelle figure du Contrat social semble privilégier la liberté sur la solidarité, l'autonomie sur l'appartenance. L'exigence de liberté prend la forme d'une recommandation à contracter en connaissance de cause et selon son libre arbitre. Encore faut-il disposer des ressources fournies par l'éducation et l'inscription dans un réseau social porteur. « Chacun n'est pas égal face à cette nouvelle exigence sociale, écrit Patrick Cottin. […] La grande injustice sociale actuelle […] est que l'on traite également des situations inégales. » Il faut assumer les exigences de l'individu autonome sans disposer nécessairement des conditions requises par cette indépendance.
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Ecrit le 10 septembre 2007 |
GEIST 53 Laval, 27 avril 2007, Bertrand Dubreuil
Pourquoi, dans le secteur social et médico-social, demander à un l'adulte avec un handicap ou aux parents d'un enfant avec un handicap de signer le document individuel d'accompagnement ? Craint-on que, les uns comme les autres, ne respectent pas certains engagements ? Veut-on en faire des partenaires ? Et pourquoi seraient-ils des partenaires ?
Les parents sont autre chose que partenaires, ils sont les parents de l'enfant. Ils n'ont pas à travailler avec lui. Ils ont à vivre leur parentalité avec lui.
L'adulte, quant à lui, n'est pas non plus le partenaire d'une action professionnelle. Il est la raison d'être de cette action. Et il a sa vie à vivre. Une vie qui nécessite une prestation de suppléance au regard des difficultés particulières qu'il rencontre.
Et, s'il a des engagements à prendre, c'est par rapport à lui-même.
Pourquoi serait-il co-acteur ? Craint-on qu'il ne se comporte en consommateur, en assisté ?
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